Saviez-vous que le Sénégal rivalise avec les pays développés et affiche près de 30-35% de femmes dans la recherche scientifique! C’est un véritable modèle de réussite pour l’Afrique et pour le monde.
Femmes dans la recherche scientifique : Le secret de cette réussite?
Nous devons cette réussite à une combinaison d’un ensemble de facteurs dont:
– des structures comme l’Institut Pasteur de Dakar qui compte 44% de femmes parmi ses chercheurs.
– des crèches sur site pour les mamans scientifiques.
– des femmes aux postes clés : finances, partenariats, chaîne d’approvisionnement.
– un soutien concret comme les bourses de L’Oréal pour les Femmes et la Science.
Découvrez Fatou, une femme scientifique au Sénégal
C’est l’histoire inspirante de Fatou, doctorante pionnière en intelligence artificielle qui veut rendre ses recherches « concrètes et significatives pour le Sénégal ».
C’est un reportage de @Ndeye Fatim Sarr, journaliste reporter d’images (JRI) pour Mon Heure d’Afrique.
Qui sommes-nous ?
L’association Mon Heure d’Afrique, dont la vocation est de favoriser la promotion de la liberté d’expression en Afrique et dans les diasporas par une production audiovisuelle de qualité -tant sur le fond que la forme- s’est donnée pour objectif :
Production des émission
1 – la production d’une émission de télévision appelée Mon Heure d’Afrique qui donne la parole à un/des invité(s) africain(s) de marque afin de défendre un point de vue africain sur une grande question transversale (éducation, égalité des genres, développement, industrialisation, commerce, sécurité, climat, etc.) Pendant l’émission qui dure 52 minutes, l’invité réagit à trois reportages d’actualité réalisés en Afrique par des télévisions africaines partenaires. En deuxième partie d’émission, il est challengé par trois experts reconnus dans leur secteur qui lui posent des questions de fonds permettant d’internationaliser la discussion.
Accompagnement des JRI
2 – L’accompagnement des Journalistes Reporters d’images (JRI) contribuant aux émissions de Mon Heure d’Afrique. Dans la mesure où l’association Mon Heure d’Afrique tisse des partenariats avec des télévisions africaines pour la production de reportages de 2’30’’ pour ses émissions, l’accompagnement des JRI travaillant dans ces chaines ou de façon indépendante vise, en premier lieu, à leur permettre de délivrer des reportages conformes aux standards internationaux (3 intervenants, un script voix off épuré, etc.) Toutefois, l’association MHA peut, à la demande, – et en s’appuyant sur des centres agréés de formation déjà existants dans les différents pays concernés-, aider les télévisions dans lesquelles ces JRI travaillent à compléter leur formation. Cet accompagnement par des intervenants contractés par MHA portera en priorité sur la formation pratique au journalisme d’investigation (caméra cachée, etc.) pour des JRI en poste ou bien en fin de cursus s’il s’agit d’étudiants. Il ne pourra, en aucune façon, se substituer à des formations de base existantes, notamment en ce qui concerne l’apprentissage du maniement de la caméra, le montage ou la réalisation.
Rôle des femmes journalistes
3 – Le partage d’expérience pour aider les journalistes travaillant dans des chaine nationales ou locales à mieux débusquer les fakes news. La jeunesse africaine vit connectée à Facebook dont elle tire la plus grande partie de son information. Bien qu’étant un formidable outil de socialisation, les réseaux sociaux sont aussi le lieu privilégié des fakes news qui, bien souvent, véhiculent des contre-vérités, voire des informations pouvant mettre la vie des populations en danger. L’association Mon Heure d’Afrique souhaite contribuer à sensibiliser les professionnels de l’information, sur leur lieu de travail, en renforçant leurs capacités à débusquer les fakes news. C’est en devenant à leur tour formateur qu’ils pourront servir de digue contre ces dernières. MHA est persuadée que le rôle des femmes journalistes doit être particulièrement privilégié lors de cette sensibilisation et s’assurera d’une complète parité dans le cadre de ses interventions.
Pour reprendre nos émissions dans votre grille de programmes
Les chaînes de télévision nationales ou internationales peuvent reprendre nos émissions dans leurs grilles de programmes.