Christine Holzbauer Journaliste/reporter expérimentée spécialiste de l’Afrique, réalisatrice et présentatrice de Mon Heure d'Afrique
Christine Holzbauer Guèye est la productrice, réalisatrice et présentatrice de Mon Heure d’Afrique.

Christine Holzbauer

Journaliste/reporter expérimentée spécialiste de l’Afrique, Christine Holzbauer sillonne l’Afrique de l’Ouest et duCentre depuis plus de vingt ans. Elle a d’abord été basée à Bamako puis à Dakar en tant que correspondante régionale de grands journaux français. Depuis son retour à Paris, elle travaille comme reporter et envoyée spéciale sur tous les évènements d’envergure concernant l’Afrique.
De août 2001 à décembre 2012, elle a exercé en tant que journaliste indépendante en Afrique. Initialement au Mali, puis au Sénégal, où elle a occupé le poste de correspondante permanente pour L’Express, La Croix et LaTribune. Au Mali, Christine a réalisé plusieurs enquêtes sur la traite des enfants, Al-Qaïda dans le désert, les manuscrits perdus de Tombouctou, ainsi qu’un article phare sur « L’or au secours du Mali », publié dans l’édition internationale de L’Express. Au Sénégal, elle a également fait la Une en septembre 2003 avec un reportage sur la Casamance un an après le naufrage du Joola (« Retour sur une tragédie africaine »). Pour « La Croix » et « L’Express », elle a largement couvert le conflit en Casamance ainsi que d’autres zones de conflit comme la Sierra Leone, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Tchad, ou les trafics dans la bande sahélo-saharienne, y compris les trafics de drogue et d’êtres humains. Elle fut la première journaliste française à révéler et à écrire sur la présence de groupes terroristes liés à Al-Qaïda dans les régions désertiques du Mali, de la Mauritanie et du Niger en 2002.
Avant de s’installer en Afrique, elle avait passé trois ans dans les Balkans (1998-2001), où elle a exercé en tant que journaliste et correspondante indépendante pour le magazine « Le Point », le quotidien « La Croix », le quotidien économique « La Tribune » et Radio France International (RFI). Basée à Zagreb (Croatie), elle a couvert la mort du président Tudjman, les grèves au Kosovo et la chute du président serbe Milosevic.
Parmi ses autres missions à l’étranger, elle a été correspondante indépendante en Allemagne au moment de la réunification (1989-1992) pour le quotidien « Le Monde », rédactrice à l’Agence France Presse (AFP) à Washington,D.C. (1986-1989) et reporter radio au bureau de la Voix de l’Amérique (VOA) pour l’Afrique francophone à Washington, D.C. (1984-1986).

Olivier SEGBO PDG de KRYPTSYS, une ESN spécialisée dans l'innovation et la cybersécurité, producteur exécutif de Mon Heure d'Afrique
Olivier SEGBO est producteur exécutif et trésorier de Mon Heure d’Afrique
Christian AKINDES
Christian AKINDES est le Sécretaire Général de Mon Heure d’Afrique

« Mon Heure d’Afrique » noue des partenariats aec d’autres acteurs de la sphère de la géopolitique en Afrique, en France et dans le Monde.

Claude FISCHER-HERZOG  fondatrice de ASCPE, une société d’études et de formation qui organise les Entretiens Européens & Eurafricains

Renforcement des capacités des JRI africains

L’organisation d’ateliers de coaching à l’investigation pour des Journalistes Reporters d’images (JRI) sur place dans les pays de l’UEMOA et de la CEDEAO. Dans la mesure où l’association Mon Heure d’Afrique souhaite tisser des partenariats avec des télévisions privées africaines pour la production des reportages défendant un point de vue africain, les JRI de ces chaines pourraient être les premiers concernés par des ateliers spécifiques permettant de mieux former les jeunes recrues de ces télévisions au journalisme d’investigation (caméra cachée, etc.) Toutefois, il serait souhaitable que l’identification des besoins se fasse par rapport à des centres de formation déjà existants sur place en commençant par les différents pays francophones concernés afin d’apporter une expertise supplémentaire à la formation de JRI, dès la sortie de l’école ou à l’issue de l’apprentissage du maniement de la caméra. En d’autres termes, cette formation se rajouterait en fin de cursus pour les bénéficiaires mais ne pourrait pas se substituer à des formations de base existantes afin de permettre aux futurs JRI d’être rodés aux méthodes d’investigation avec une caméra.
L’organisation de séminaires sur place dans les pays de l’UEMOA et de la CEDEAO pour aider les journalistes à mieux débusquer les fake news. La jeunesse africaine vit connectée à Facebook dont elle tire la plus grande partie de son information. Bien qu’étant un formidable outil de socialisation, les réseaux sociaux sont aussi le lieu privilégié des fake news qui, bien souvent, véhiculent des contre-vérités, voire des informations pouvant mettre la vie des populations en danger (campagne anti wax !). Il est donc essentiel de corriger le tir en commençant par informer et former les professionnels qui, devenant à leur tour formateur, pourront devenir une digue contre les fake news en Afrique.

Planification des activités

L’organisation d’ateliers de coaching à l’investigation pour des Journalistes Reporters d’images (JRI) sur place dans les pays de l’UEMOA et de la CEDEAO. Dans la mesure où l’association Mon Heure d’Afrique souhaite tisser des partenariats avec des télévisions privées africaines pour la production des reportages défendant un point de vue africain, les JRI de ces chaines pourraient être les premiers concernés par des ateliers spécifiques permettant de mieux former les jeunes recrues de ces télévisions au journalisme d’investigation (caméra cachée, etc.) Toutefois, il serait souhaitable que l’identification des besoins se fasse par rapport à des centres de formation déjà existants sur place en commençant par les différents pays francophones concernés afin d’apporter une expertise supplémentaire à la formation de JRI, dès la sortie de l’école ou à l’issue de l’apprentissage du maniement de la caméra. En d’autres termes, cette formation se rajouterait en fin de cursus pour les bénéficiaires mais ne pourrait pas se substituer à des formations de base existantes afin de permettre aux futurs JRI d’être rodés aux méthodes d’investigation avec une caméra.
L’organisation de séminaires sur place dans les pays de l’UEMOA et de la CEDEAO pour aider les journalistes à mieux débusquer les fake news. La jeunesse africaine vit connectée à Facebook dont elle tire la plus grande partie de son information. Bien qu’étant un formidable outil de socialisation, les réseaux sociaux sont aussi le lieu privilégié des fake news qui, bien souvent, véhiculent des contre-vérités, voire des informations pouvant mettre la vie des populations en danger (campagne anti wax !). Il est donc essentiel de corriger le tir en commençant par informer et former les professionnels qui, devenant à leur tour formateur, pourront devenir une digue contre les fake news en Afrique.